Affaire ex employés de MCK VS NB Mining Africa : Papy Tamba denonce un complot contre Pascal Beveraggi

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Dans un texte publié ce samedi, le patron de la firme PT Conseils, qui gère la communication de NB Mining Africa, a appélé l’opinion à ne pas ceder à ce qu’il qualifie de “Manipulation” orchestrée par un groupe de gens qui complotent contre Pascal Beveraggi, patron de NB Mining.

La réaction de Papy Tamba fait suite au point de presse récemment tenu à Kinshasa par les représentants des ex-employés de la MCK, une compagnie qui était detenu en majorité par l’ancien gouverneur de l’ex Katanga, Moise Katumbi.

Ces travailleurs exigent de NB Mining, qui aurait selon eux rachété MCK, le paiement de plusieurs mois d’arriêres qu’il disent n’avoir pas perçu depuis la liquidation de la compagnie minière MCK.

Une demarche qui ne réléve que de l’acharnement envers la personne de Pascal Beveraggi selon Papy Tamba. Ce dernier insiste que Mr Beveraggi n’a jamais été l’employeur de ces travailleurs et rappelle, pour la énième fois, que NB Mining et MCK n’ont aucun lien.

Ci dessous l’intégralité du communiqué de la redaction de PT Conseil :

LE COMPLOT CONTRE MONSIEUR Pascal BEVERAGGI SE POURSUIT. NOUS ALERTONS L’OPINION ET LEUR DEMANDE DE NE PAS CÉDER À LA MANIPULATION D’UN GROUPE DE GENS, VISIBLEMENT MANIPULÉS PAR UN LABORATOIRE EN MARCHE CONTRE MONSIEUR Pascal BEVERAGGI

Quel n’a pas été notre étonnement, en suivant un groupe se disant engager un autre, faire le déplacement de LUBUMBASHI à KINSHASA et tenir un point de presse à la veille d’un match très important de FC SAINT-ELOI LUPOPO, dont le président est Monsieur Pascal BEVERAGGI. Est-ce une stratégie pour atteindre son moral et ainsi forcer la défaite de ce grand club de LUBUMBASHI ?

CES DETRACTEURS NE SAVENT PLUS QUOI INVENTER

Toute leur communication reposait sur des allégations, qui du reste sont intenables devant un public averti. Mais pour ne pas laisser le mensonge prospérer, nous apportons les précisions ci-après. D’ailleurs, nous ne faisons que me répéter par rapport à plusieurs articles déjà écris à ce sujet.

1. Ces 267 travailleurs n’ont jamais été salariés de NB MINING AFRICA et ne peuvent en rien réclamer quoi que ce soit à cette entreprise et à son dirigeant.

2. Pour qu’un employé exige d’un patron le paiement d’un salaire ou des arrièrés, il devra le faire sur base d’un contrat de travail. Ils ne peuvent pas brandir un tel document, sauf à fabriquer un faux qui les conduiraient en prison.

3. Ces ex travailleurs de MCK comprennent-ils la notion de liquidation judiciaire d’une société ? Sinon ils ne se livreraient pas à une communication aussi ridicule. Excusez-nous du peu

Je vous laisse comprendre ce paradoxe. Un groupe des gens qui, dans leur communication, parle de la précarité de leur situation, appelant au secours l’autorité, mais se déplace en masse pour Kinshasa. Billets d’avion aller-retour, hôtels, restaurants et vehicules, bref une vie princière. Qui les finance? Suivez mon regard. C’est le noeud de cette affaire qui n’est qu’une manipulation. Plusieurs faits déjà denoncés par nous peuvent militer à la faveur d’une telle thèse. Mais passons.

En guise de rappel, NB MINING a été fermée par une décision de justice initiée par quelqu’un que vous connaissez. Monsieur Pascal BEVERAGGI s’est battu contre une telle supercherie qui allait plonger plus de 2 000 personnes au chômage. Et il a malgré tout reçu, même après que NB MINING ait été liquidée. C’est injuste que les mêmes aujourd’hui cherchent à lui imputer les conséquences de leurs propres forfaits.

Il faudra aussi ajouter que monsieur Pascal BEVERAGGI n’est pas liquidateur pour faire le recouvrement d’une société déclarée en cessation de paiement. Ils devraient construire d’autres mensonges, avant d’atteindre monsieur Pascal BEVERAGGI qui n’est pas venu dans notre pays pour répondre aux balivernes sans discernement. C’est plutôt un investisseur très sérieux qui mérite le soutien des congolais.

Àinsi, â chaque fois que quelqu’un passera dans vos chaînes sur ce dossier, pensez à plus de 2 000 personnes qui travaillent régulièrement à NB MINING AFRICA. Eux ont besoin que le moral de leur président ne soit pas entamé. Je répète, ils sont plus de 2 000 et laissez-moi conclure qu’ils n’ont jamais été à la rue pour réclamer des arrièrés de quoi que ce soit.

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