Cinquième journée d’échange citoyen dédié aux femmes et hommes de médias: L’inspection Générale des Finances face à la presse

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Plus de 100 journalistes ont répondu à l’invitation de l’IGF. Thème retenu: ”La lutte contre la prédation financière enclenchée par le chef de l’État, à travers l’IGF : Quel rôle pour les femmes et hommes des médias?”
L’Inspecteur Général Jules Alingete avait déjà invité auparavant toutes les couches sociales, pour leur expliquer ce qu’est l’IGF et sa mission. Vient le tour des femmes et hommes des médias.
L’inspecteur général de l’IGF a expliqué à la presse nationale, pendant cette 5ème journée d’échange, la genèse de l’IGF, étant donné que beaucoup pensent, au regard de sa nouvelle orientation, que ce service a commencé avec la direction actuelle. Contrairement à ce que croient nombre de Congolais, cette institution financière est apolitique, quoiqu’il dépende directement du Président de la République.

Sa notoriété actuelle découle du louable travail de traque contre les prédateurs qu’il est en train d’abattre au quotidien.

Ayant baigné dans l’anonymat pendant près de 34 ans d’existence, l’IGF n’a été révélée au grand public que suite à la volonté ferme de Jules Alingete d’extirper ce service de la gadoue de la corruption dans laquelle il caracolait, pour le hisser vers sa respectabilité.

Dans le difficile combat contre le détournement endémique des derniers publics, l’IGF est devenue aujourd’hui l’incarnation du gendarme qui terrorise les malfrats publics tapis dans les institutions.

Désormais, on doit regarder par deux fois, avant de mettre la main dans le sac du Trésor public. Le coefficient d’être attrapé par l’IGF est de 95%…

Catherine Batende / Goma

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