Déclaration des Forces Politiques et Sociales sur la réunion de Kingakati, la mort du Général Bahuma et la situation politique de l’heure (VIDÉO)

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Déclaration des Forces Politiques et Sociales sur la réunion de Kingakati, la mort du Général Bahuma et situation politique de l’heure…Suivez


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  1. Le GRARC ,qui a pris la décision de ne plus laisser les congolais dans les ténèbres de l’ignorance, a décidé de vous présenter aujourd’hui un des rares spécimens de l’imposture dont les jongleries ont longtemps fait illusion, au point de séduire et de tromper même ceux d’entre nous qui ne sont pourtant pas dépourvus d’équilibre psychologique. Il s’agit de monsieur Vital Kamere ou Kamerhe Rwakanyasigize alias Lwa Kanyiginyi Nkingi

    VITAL KAMERHE Rwakanyasigize alias Lwa Kanyiginyi Nkingi,
    VITAL KAMERHE Rwakanyasigize alias Lwa Kanyiginyi Nkingi,

    Vital Kamerhere, en effet,est accusé par une grande majorité de Congolais, notamment ceux de Kikwit où il avait passé la majeure partie de sa jeunesse, comme étant originaire du Rwanda. De ce fait, comme le souligne l’ambassadeur américain à Kinshasa (voire Wikileaks) et plusieurs diplomates occidentaux, il est un artiste, menteur, jongleur et manipulateur. Les mêmes qualificatifs dénoncés par tous ceux qui connaissent bien tous les Tutsi. En réalité, il est donc prudent de faire attention quand nous parlons d’un Rwandais et ou d’un Tutsi car il n’y a pas de différence par leur façon de percevoir la vérité. C’est dire que toute leur existence socio-politico-économique est émaillée par les mensonges dépassant tout entendement du plus petit au plus grand en passant par les autorités publiques. C’est dans leur nature.

    Le mot « Kamere » est qui signifie en Kinyarwanda : nature, habitude, comportement alors qu’il n’existe pas dans la langue dont il se réclame : le « Shi ». Les ethnologues trouveront les matériaux permettant de rétablir la vérité dans un avenir proche pour le compte de l’histoire de la nation congolaise.

    I.- NAISSANCE ET ETUDES :

    Il est né un certain 4 mars 1959, à Cyangugu, au Rwanda, poste frontalier avec le Congo dans le Sud-Kivu. Sa grand-mère est Rwandaise et vit encore à Cyangugu et son cousin est le général de brigade rwandais Gratien KABILIGI. Fils de Constantin, arrêté le 18 juillet 1997 par le Tribunal Pénal International pour le Rwanda et transféré à Arusha, en Tanzanie. Leur grand-père commun est M. KANYIGINYA du clan royal Hutu des Banyiginya de la Préfecture de Cyangugu. Le général Gratien KABILIGI est né à Rusunyi en décembre 1951 et il a fait ses études secondaires au Collège St Paul à Bukavu ,sous les bons soins de son oncle paternel Constantin KAMERE. Avant le génocide de 1994 au Rwanda, le général Kabiligi était commandant des opérations à Byumba, au Rwanda, avant de devenir commandant des opérations au Sud-Kivu pendant l’aventure de l’AFDL.

    On retrouvera Vital Kamerhere dans les années 70 à Kikwit, dans le Bandundu avec son oncle, travaillant à l’Office des Routes pour les uns et comme Assistant à l’I.S.P./Kikwit, pour les autres. Et lui, il est parti étudier à Kikwit Sacré/Coeur plus précisément à INDOBO (Institut St Jean-Bosco, des Frères Joséphites) de 1971 à 1975. Lui-même dira , à l’Institut St François Xavier (en maths et Physique), Institut Sadisana (ex ISFX).

    Il quittera Kikwit pour Kananga, ,pour étudier à l’Institut Mulemba de 1976 à 1980, pour avoir son diplôme d’Etat, en 1980. Il mettra à son actif ce périple riche en découvertes pour apprendre à parler non seulement les quatre langues nationales du Congo (tshiluba, kikongo, swahili et le lingala) mais aussi le Kinyarwanda et le kirundi. Mais il ne saura se comparer à certains intellectuels congolais tels que le Professeur Mathieu Musey qui en parle et écrit couramment 11 langues et le Cardinal Monsengwo, 16 langues du monde et du Congo. Cette perfidie de polyglotte aurait facilité et en même temps justifié amplement le recrutement de Rwakanyasigize Kamere dans les services de renseignements rwandais afin d’infiltrer les institutions de notre pays.
    Il ira s’inscrire à l’Université Nationale du Zaïre (UNIKIN) à Kinshasa, de 1980 à 1987 pour obtenir une Licence en Economie agricole (C’est sa spécialité) et il sera retenu comme assistant de 1987 à 1995. En 1995, il sera chargé des cours à l’IPN, en gestion financière.

    Il est marié à la fille de l’honorable BOJI, Mme Mamick Boji, une Mushi du Sud-Kivu, il est père de huit enfants. C’est sa femme qui est originaire du village Ngweshe, Secteur Bulwi, territoire de Walungu, district et province du Sud-Kivu. Par stratégie, il a endossé l’étiquette de « mushi » à la place de son épouse.

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