Le Sphinx de Limete est resté égal à lui-même.
Etienne Tshisekedi a réservé une suite de non recevoir aux requêtes de deux émissaires de Joseph Kabila envoyés, en une semaine, à la 10è rue Limete. Des sources recoupées renseignent que le premier, un conseiller spirituel du chef de l’Etat, et le second le chef de la Maison civile du chef de l’Etat, devraient convaincre le président de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) à adhérer au schéma d’un gouvernement de large ouverture, décidé aux Concertations nationales. Selon les mêmes sources, les deux hommes de Kabila ont sué eau et sang et sont rentrés la queue entre les pattes. Selon un cacique tshisekediste, le second homme, ambassadeur Théodore Mugalu, apportait une invitation de Kabila qui, depuis des années, cherche un tête-à-tête avec Tshisekedi. Le rapprochement entre Tshiskedi et Kabila a été déclenché à l’issue des Concertations nationales qui ont décidé d’enlever les barrières policières à l’entrée de la résidence d’Etienne Tshisekedi, à la 10è rue Limete. Un cordon policier a été réinstallé peu après la présidentielle de 2011 lorsque le leader de l’UDPS revendiquait la victoire et mobilisait ses partisans. ‘‘Ce dispositif a été placé là-bas pour sécuriser les gens du voisinage de Monsieur Tshisekedi, qui subissait souvent des incommodités de la part de ses partisans, explique le ministre porte-parole du gouvernement, Lambert Mendé. Etant donné que maintenant, le voisinage de Monsieur Tshisekedi dit avoir trouvé une sorte de convivialité dans ses relations avec les partisans, le ministre de l’Intérieur a décidé de lever ce dispositif’’, a indiqué le porte-parole du Gouvernement, Lambert Mende, assurant que l’opposant historique avait toujours été libre de ses mouvements. Mais depuis un an et demi, l’UDPS parle de résidence surveillée.
Tête-à-tête réclamé
La rencontre Tshisekedi-Kabila est pourtant vivement souhaitée par certains opposants qui annonçaient l’échec des Concertations nationales. Parmi eux, Jean-Claude Mvuemba, président du MPCR, qui n’estime que seule la rencontre entre ces deux poids lourds de la politique qui permettra au pays de résoudre la crise politique. Pour lui, le forum du Palais du peuple était une perte de temps. Ils sont nombreux, ceux qui partagent l’avis de Mvuemba dont les politiques réunis au sein de la Coalition pour le vrai dialogue (CVD) qui continuent de réclamer la tenue d’un ‘‘vrai’’ dialogue entre le président Joseph Kabila, des opposants et des groupes armés. Le porte-parole de cette structure, Steve Mbikayi, président du parti des travaillistes (PT), soutient que la tenue des discussions entre Joseph Kabila, Etienne Tshisekedi et Vital Kamerhe est nécessaire pour mettre fin à ‘‘la crise politique’’ que connaît le pays.
Pour Steve Mbikayi, ces trois personnalités doivent associer à leurs discussions les groupes armés pour mettre fin aux conflits armés dans l’Est du pays. ‘Nous pensons que pour qu’il y ait harmonie, cohésion nationale, il faut une table ronde autour de laquelle seront assis la Nouvelle Majorité présidentielle actuelle, l’Opposition congolaise, mais aussi les groupes pour qu’on puisse tirer de ces groupes, les Congolais qui sont là-bas pour qu’on puisse faire un front commun du pays contre l’agression étrangère’’, a expliqué le porte-parole de la CVD.
Les Concertations nationales, initiées par le chef de l’Etat Joseph Kabila pour créer la cohésion nationale, se sont clôturées samedi 5 octobre et leurs recommandations ont été formulées au chef de l’Etat qui doit les présenter devant le parlement réuni en congrès, mardi 15 octobre prochain. Mais ces assises ont été boycottées par certains opposants.
L’acte créant la CVD a été signé jeudi 12 septembre par des formations politiques de l’opposition politique notamment l’UNC de Vital Kamerhe, le RCD-KML de Mbusa Nyamwisi, le PT de Steve Mbikayi, l’UPC de Thomas Lubanga et l’UDEMO de Nzanga Mobutu ainsi que certaines organisations syndicales.
Dans les salons huppés comme dans les rues de Kinshasa, on accorde moins de chances à la tenue d’un tête-à-tête Kabila-Tshisekedi qui, depuis des années, ne partagent pas les visions politiques. Arrivé deuxième (32,33%) lors de la présidentielle de novembre 2011, Etienne Tshisekedi conteste la réélection de Joseph Kabila (48,95%) et se considère comme le président élu de la RDC. Cette considération constitue une véritable barrière entre les deux homme.
Source : lobjectif.net
CRIEZ AU RASSEMBLEMENT DES CONGOLAIS POLITICIENS, MILITAIRES, COMBATTANTS ET RESISTANTS POUR UNE “SEULE ARMEE” SOUS COMANDEMENT DES CONGOLAIS
ALORS VOUS VERREZ COMMENT UNE RACE RARE SUR LA PLANETTE , TUTSIS,, CARACTERISéE PAR LES CRIMES, VIOLES, USURPATIONS ET MENSONGES VA DISPARAITRE QUOI QUE PROTEGéE PAR L ONU (MONUSCO)
QUEL RAPROCHEMENT PEUT_IL Y AVOIR ENTRE UN CONGOLAIS MULUBA ET UN TUTSI RWANDAIS ?
QUEL RAPROCHEMENT PEUT_IL Y AVOIR ENTRE UN HOMME DE PAIX ET UN GENOCIDAIRE?
QUEL RAPROCHEMENT PEUT_IL Y AVOIR ENTRE UN DEMOCRATE ET UN USURPATEUR ?
QUEL RAPROCHEMENT PEUT_IL Y AVOIR ENTRE UN JUSTE ET UN MENTEUR ?
QUEL RAPROCHEMENT PEUT_IL Y AVOIR ENTRE UN NATIONALISTE CONGOLAIS ET UN INFILTRE RWANDAIS ? ?
QUEL RAPROCHEMENT PEUT_IL Y AVOIR ENTRE UN PRESIDENT ELU ET UN TRICHEUR FAUSSEUR ?
QUEL RAPROCHEMENT PEUT_IL Y AVOIR ENTRE LA LUMIERE ET LE TENEBRE
QUEL RAPROCHEMENT PEUT_IL Y AVOIR ENTRE UN INTELLECTUEL CONGOLAIS DE L UDPS ET UN CON RWANDAIS DE FPR
QUEL RAPROCHEMENT PEUT_IL Y AVOIR ENTRE UN PROPRIETAIRE ET UN VOLEUR ? ?
Kabila will not fix military or conflicts in DRC Congo. We have to remember that we have been with this dude for so many years until now but problems of conflicts still growing up like birth. We need to fight and support our FARDC. Kabila should accept Tshisekedi to be his opposite leader if he want to help Congo.