Dans un tweet jeudi 07 Janvier 2021, Mike Hammer a tenu à remercier les congolais pour leurs messages de soutien “pendant les heures difficiles”.
“Les criminels qui ont commis d’actes de terreur violents contre nôtre démocratie hier seront tenus pour responsables conformément à l’état de droit aux États-Unis. Notre sincère gratitude aux nombreux congolais qui ont envoyé des messages de soutien pendant les heures difficiles d’hier.” a twitté le représentant de l’administration Trump en RDC.
Une publication qui intervient quelques heures après le message de condamnation de violence par le Président sortant Donald Trump.
Dans une video postée sur le compte Twitter de son Porte Parole (le sien étant suspendu), le président américain a, pour la première fois depuis les manifestations violentes de mercredi, condamné les violences et promis que les auteurs seront traduits en justice.
Au total quatre personnes sont mortes suites aux affrontements entre forces de l’ordre et supporters du Président Donald Trump à l’interieur du Capitole, le batiment abritant les deux chambres du Parlement américain.
Plusieurs centaines de supporters du président sortant ont fait irruption dans le Capitole pendant que les deux chambres du Parlement étaient reunies en congrès pour enteriner la victoire du candidat Joe Biden à la présidentielle de Novembre dernier.
Les manifestants ont reussi a faire tomber les barrières érigées par la police du Capitole et ont envahi la salle du sénat et plusieurs bureaux dont celui de la présidente de la chambre des représentants. Causant l’interruption de la plénière et forçant les élus à se refugier dans des lieux sécurisés.
Cette scène surréaliste au coeur de la plus vielle démocratie au monde a été condamnée par plusieurs gouvernements occidentaux.
Après un renfort de la garde nationale du district de Columbia et des états voisins ansi que de la FBI, l’ordre a été retabli et la pléniére a pu continuer.
Donald Trump a toujours contesté les résultats de la présidentielle de Novembre 2020 remportée par le candidat démocrate Joe Biden. Le président sortant n’a cessé de denoncer des fraudes massives. Des allégations que ses avocats n’ont pas pu prouver devant les cours et tribunaux du pays.
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