Rides de détresse et angoisse, grincements de dents, larmes aux yeux sont les signes visibles sur les visages des étudiants de l’ESU. De l’Université Saint Laurant en passant par l’Université pédagogique de Kananga , L’UKA, UNIKAN, L’ISIC ‘L’ISTM, L’ISC,L’ISES, la chanson a le même refrain.
Les montants fixés pour les frais fixés académiques dépassent tout entendement de parents dont la plus part sont prolétaires. Ce qui est intriguant est que ces frais sont fixés unilatéralement sans avoir associé les concernés et pis encore fixés en devises étrangères. Les étudiants perdent la tête.
Les épreuves ont débuté le lundi dans toutes les institutions universitaires et supérieures. La condition sine qua none pour franchir le seuil de la salle et passer les épreuves est d’avoir payé les frais académiques et ceux de diplômes et pourtant les finalistes sont encore en voie de les obtenir.
Ceux n’ayant pas versé suivent de loin le déroulement de matches et ne savent à quel saint se vouer. Pour eux l’avenir est au point mort.
Que les autorités politico- administratives s’impliquent pour de solutions paléatives et compensatoires.
Celé tubadi pour voice of Congo Kananga
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