Dans une lettre adressée à Mary Robinson, l’Envoyée spéciale du Secrétaire général de l’ONU pour les Grands Lacs, et à Martin Kobler, Représentant spécial du Secrétaire général de l’ONU en RDC, la société civile du Nord-Kivu s’oppose à l’idée d’amnistier et d’intégrer tous les rebelles du M23 dans l’armée tel que le propose le président ougandais Yoweri Museveni, médiateur dans la crise entre Kinshasa et le M23. Une telle démarche est «dangereuse» pour le pays, estime la société civile dans cette correspondance publiée à Goma en début du week-end dernier.
«Notre coordination a appris la proposition du président ougandais d’une solution à la burundaise de la crise du M23. C’est-à-dire, l’octroi d’une amnistie générale à tous les éléments du M23 pour leur intégration ensuite dans les FARDC. Notre coordination attire l’attention de Mme Mary Robinson et de M. Martin Kobler sur le danger que pareille initiative présente», a affirmé le porte-parole de la société civile du Nord Kivu, Omar Kavota.
D’après lui, «une intégration de ce genre consacrerait l’impunité flagrante des crimes de guerre, crimes contre l’humanité et d’autres graves violations des droits humains perpétrés par les criminels du M23».
Pour la population du Nord-Kivu, a poursuivi Omar Kavota, «la rébellion du M23 est composée des criminels, des militaires rwandais et ougandais qui cherchent à nouveau à infiltrer l’armée congolaise en vue de continuer à fragiliser la réforme de l’armée entreprise par le gouvernement et poursuivre le plan de la balkanisation.»
Il y a dix jours, Omar Kavota avait exprimé sa «déception suite à la disponibilité du gouvernement congolais à intégrer les rebelles du M23 dans l’armée même dans les institutions politiques », estimant qu’en faisant cela, Kinshasa risquerait « d’intégrer au sein des FARDC une très grande partie de l’armée rwandaise».
Le gouvernement congolais a pour sa part remis à la Monusco une liste reprenant près d’une centaine de membres de la rébellion du M23 qu’il ne souhaite pas réintégrer dans l’armée.
Officiellement, les rebelles estiment que les questions liées à leur réintégration dans l’armée sont « subsidiaires ». C’est ce qu’a affirmé à l’AFP Bertrand Bisimwa, le président du M23 :
“Nous nous battons pour le pays et pour notre survie. Pour la sécurité de notre population, le retour des réfugiés et la réconciliation nationale. C’est à ces problèmes qu’il faut accorder beaucoup plus d’importance. Ces questions doivent trouver une réponse à Kampala. Nous ne nous battons pas pour l’amnistie, nous ne nous battons pas pour l’intégration. (…) La question de l’amnistie, la question de l’intégration, ce sont des questions subsidiaires ».
Les dirigeants du M23 ont combattu au sein de l’ex-rébellion du CNDP avant d’intégrer l’armée aux termes d’un accord de paix signé le 23 mars 2009 à Goma avec le gouvernement. Le M23 tire son nom de cet accord de paix dont il revendique la pleine application depuis mai 2012.
En novembre 2012, les rebelles ont occupé brièvement la ville de Goma avant de la quitter en échange des négociations ouvertes en décembre de la même année à Kampala. Ces pourparlers suspendus depuis mai ont repris le 10 novembre dernier après que les FARDC appuyées par la brigade offensive de la Mission de l’ONU en RDC ont repoussé les rebelles à une trentaine de kilomètres de Goma qu’ils menaçaient de reprendre.
Source : unmultimedia.org
L’AMOUR DE LA PATRIE SVP. AIMONS CE PAYS et c’est tout. A quoi pense le gouvernement Congolais sur la table de negociation. Etes-vs intelliegents ou pas. Qui vous hypnotise la-bas pour accepter ce qu’un petit bebe ne peut jamais accepter. Avez-vous etudier ou pas. Negocier avec un subversif, c’est une lachete. Je veux invoquer l’esprit de Lumumba pour qu’il vous abat tous. Inserer les intrus, les infiltres, les inyenzi dans une armee republicaine. Vs etes gravement malade. Le plan Marechal qui veut accorder 1 milliards d’heros a la RDC pour engraisser le Rwanda, l’Ouganda et le Burundi est une bombe a retardement pour le Grand Congo. Faites attention avec l’Or Noir et le Gaz de l’Est de la RDC. La ou les Romains s’empoignerent….
Le gouvernement Kongolais, ne peu pas accepter ces genre de situation, d’être imposer par ces personnes qui ont commis des crimes sur son sol. La solution idéal si ces états veulent vraiment maintenir réellement la paix dans cette parti exposer c’est de mettre le Rwanda sous contrôle de l’ONU. Je pense que si nous arrivons à faire rétablir la paix chez nous maintenant, nous pourrions carrément réduire le nombre des ces groupes qui sévisse chez nous surtout dans notre cotés EST. Nous avons des hommes mais je pense que le gouvernement doit renforcer ces troupes avec armement nécessaire pour reprendre le contrôle de toute cette zone surtout négliger. Il n’est pas question pour nous d’accepter les conditions proposer mais par contre de faire appliquer le droit pour faire respecter les lois de la constitution de notre pays. Le P.P.D.C: Résistance Kietos et moi même, nous avons des projets d’avenir pour faire rétablir la paix, reprendre le contrôle de notre état puis d’organiser sa protection contre tout avenant qui chercherait de nous attaquer dans le futur. Nous pensons que actuellement notre gouvernement peut engager directement la front directe avec tout ces insurger qui occupe ou qui fond des trouble dans la société civile à GOMA, c’est à dire le groupe que nous appelons tous le M23 à déposer ces armes pour qu’ils puissent répondre à la justice Kongolaise, pour des crimes auxquelles nous le soupçonnons, en fin de savoir réellement le fin mot de toute cette histoire. Nous avons un état de droit, il est temps que nous puisons en servir pour faire respecter le droit. Nous ne pouvons pas laisser des hommes en armes décider à notre place mais nous avons le droit d’exiger d’eux d’abandonner toute escalade contre notre peuple ou notre nation. Je pense que si tous respectent ces engagement, nous pourrions surement commencer à discuter. Mais dans l’immédiat, je pense que nous pouvons déjà commencer à construire le mur de séparation ou de fermeture définitif des nos frontières entre ces états est nous. Vous le savez tous que c’est la seule solution qui obligerez que chaque état assure vraiment la protection de son frontière. Je pense que nous allons empêcher que d’autres, puissent encore traverser chez nous pour provoquer le trouble. Nous pensons que nous pouvons former des personnes, hommes ou femmes, militaire et douanier d’assurer la protection de nos frontière permanente. Le M23 ou tout autre groupe armées qui ne respecteraient pas ces principe de démantèlement purement est simplement se verraient Attaquer avec une force, voir même son néantise ment. Il est temps que chaque gouvernement puisse prendre ces responsabilités pour faire revenir l’état de droit dans cette zone. Je rappel que le gouvernement Kongolais, doit mettre tout en oeuvre pour faire respecter sa souveraineté, assurer la protection de la population qui est souvent violer, massacrés, mal militariser. Le président Joseph KABILA à le devoir de faire respecter tout ces valeurs. Candidat Mbolé NK MB Mangikila.