Le message de Mary Robinson à Etienne Tshisekedi

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La communauté internationale n’approuve pas les Concertations nationales version Palais du peuple. Les forces de l’opposition pro-boycott l’ont appris de la bouche de la sous-secrétaire d’Etat américaine, Linda Thomas Green Field, venue, à Kinshasa, dans la suite de Mary Robinson, en compagnie, également, d’une délégation de l’Union européenne. Selon des opposants qui ont conféré avec l’envoyée de Barack Obama,
celle-ci les a encouragés à maintenir leur position. Green Field aurait bien aimé rencontrer Etienne Tshisekedi wa Mulumba. Mais puisque ce dernier est inaccessible, elle a sollicité de ses interlocuteurs opposants de transmettre le message. Ce que les autres ont fait via Albert Moleka, se rendant au cabinet privé de l’assistant de Tshisekedi, dans le centre-ville, où ils ont passé plus d’une heure ensemble. Les réserves de la communauté internationale à l’initiative de Joseph Kabila tiennent à l’absence d’inclusivité et d’une médiation internationale mais aussi et surtout à un préalable partagé aux Nations-Unies qui veut qu’un compromis se dégage d’abord à Kampala avant d’entreprendre des négociations à l’interne. D’où le nouveau round imposé à Kabila face au M-23 à partir du 9 septembre prochain dans la capitale ougandaise. Rien n’indique qu’une avancée allait être enregistrée chez Yoweri Museveni Kaguta, la semaine prochaine, en raison de la mauvaise foi de Kigali pas du tout disposé à cesser son soutien au M-23 comme le recommande l’Accord-cadre d’Addis-Abeba. Au point que nombreux analystes, côté RD-Congo, pensent que l’issue du conflit se trouve dans l’intensification de la guerre face à un voisin qui n’a pas les moyens –financiers s’entend- de tenir dans la durée. Vu sous un autre angle, il y a de quoi se demander à quoi serviront les Concertations nationales si elles n’apporteront pas la solution à la crise de l’Est. Il n’est pas exagéré d’affirmer de manière prémonitoire qu’elles n’apporteront pas la solution pour la simple raison que la question dépasse la compétence des délégués sans aucun pouvoir de décision que sont les Concertateurs. Quelles que soient les pistes qu’ils ouvriront, il appartiendra à Joseph Kabila de décider en dernier ressort sur un conflit dont il connaît – en partage avec les rebelles et leur maître Paul Kagame- mieux les tenants et les aboutissants.

MTN

1 COMMENT

  1. @ CONGOLAIS INTELLIGENTS

    LE PROBLEME EST A L EST DE NOTRE PAYS D OU VIENNENT LES MENTEURS USURPATEURS GENOGIDAIRES VIOLEURS;

    TOUT CE QUI SE PASSE A L OUEST DE NOTRE PAYS C EST DE LA PURE DISTRACTION DES RWANDAIS TUTSIS INFILTRES DANS LES INSTITUTIONS DE LA RDC POUR CREER DE LA FUMEE SUR EUX-MEMES ET LEUR CRIMES;

    IL Y AURA CONCERTATION ET MEME UNE CONFERENCE NATIONALE SOUVERAINE.. MAIS APRES L’APPLICATION DE L ACCORD CADRE QUE LES RWANDAIS TUTSIS DU RWANDA, DE L’OUGANDA ET CEUX INFILTRES EN RDC ONT EUX-MEMES SIGNE EN PRESENCE DE L’ONU; DONC LES GENOCIDAIRES DOIVENT QUITTER LA RDC POUR LEURS PAYS ET LAISSER LES CONGOLAIS REGLER LEURS DIFFERENTS (SI PROBLEME IL Y AURA)

    POUR LE MOMENT, LES CONGOLAIS N’AVONS PAS BESOIN D’UN CONSEIL DES BRASSEURS QUI VEULENT SE BRASSER DANS LES INSTITUTIONS AFIN D’AVOIR UNE NATIONALITE CONGOLAIS ET AINSI ECHAPER AUX RESOLUTIONS DE L’ONU EN SE FAISANT PASSER POUR LES “REBELLES” ALORS QU ILS SONT IDENTIFIES “AGRESSEURS”;

    TOZALA NDE MAYELE PE EKENGE;

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