Pas plus longtemps que le samedi 31 mai dernier, lors d’une réunion spéciale avec les ambassadeurs et représentants des chancelleries étrangères en RDC, le président Joseph Kabila avait exprimé son indignation face à ce qu’il décrivait comme une ingérence des missions diplomatiques étrangères accréditées en RDC dans les affaires intérieurs du pays.
Cette dénonciation, qui avait plus la forme d’une mise en garde, semble donc être tombée sur des sourdes oreilles. Des représentants des organismes internationaux ont eu à rencontrer des membres de l’opposition et des responsables de la CENI (Commission Electorale Nationale Indépendante) le mardi 3 juin 2014.
Le calendrier des élections urbaines, municipales et locales prochaines a été l’un des sujets débattus entre l’opposition et les représentants de ces organismes parmi lesquelles figuraient : la représentante du secrétaire général des Nations unies pour la région des Grands lacs, Mary Robinson, le chef de la Monusco, Martin Kobler, l’envoyé spécial des Etats-Unis pour la région des grands lacs, Russ Feingold, l’envoyé spécial de l’Union africaine, Boubacar Diarra et l’envoyé spécial de l’Union européenne, Koen Vervaeke.
Ces envoyés spéciaux ont aussi eu un entretien avec le Président de la CENI pour discuter toujours du processus électoral. A l’issue de cette rencontre, Mary Robinson a exprimé le souci des Nations-Unis de voir la publication d’un calendrier global jusqu’aux élections de 2016.
Un souhait qu’a écho le représentant des Etats-Unis, Russ Feingold, qui a aussi justifié leur prise de position en disant: “Nous devons dire ce que la Communauté internationale pense sur des questions qui touchent notamment, le processus électoral”.
L’opposition politique a été représentée par Bruno Mavungu et Felix Tshisekedi pour le compte de l’UDPS, Vital Kamerhe pour l’UNC, Martin Fayulu pour les FAC et Thomas Luhaka pour le MLC.
Ces opposants ont balayé du revers de la main les accusations que cette rencontre constituait une ingérence de la part de la communauté international. Vital Kamerhe a même expliqué que l’accord-cadre d’Addis-Abeba et la résolution 2098 signé par le président Kabila lui-même sollicite l’implication du représentant de la Monusco “pour donner ses bons offices pour que les Congolais aient un dialogue sans exclusif.”
Pour rappel, le président Kabila avait convoqué, le samedi 31 mai dernier, les ambassadeurs et représentants des missions diplomatiques accréditées en RDC et leur avait déclaré qu’ils devaient désormais respecter le cadre légal qui existe pour les échanges relevant de la politique intérieure.
La délégation des représentants de la communauté internationale s’est aussi entretenue avec le président Kabila. Ces entretiens entrent dans le cadre d’une mission de deux jours qui a pour objectif l’évaluation de l’accord-cadre d’Addis-Abbeba. Elle a débuté à Bujumbura puis Kigali pour finir par Kinshasa.
Erick Bukula
Voice Of Congo
SONIEEEEE….COMMENT UN PRESIDENT USURPATEUR PEUT_IL CONVOQUER LES DIPLOMATES AVANT SON PARLEMENT RWANDAIS EN RDC POUR PARLER ET ACCUSER LES FILS ET LES FILLES DE LA RDC QUI SONT A L ETRANGER ? ? ? ET IL PREND MEME LA DEFENSE DES RWANDAIS TUTSIS (COMMUNAUTE) ALORS QUE LA RDC N EST PAS UN PAYS DES COMMUNAUTES MAIS DES TRIBUTS (SANS TUTSIS NI HUTUS)
Nous ne pouvons pas aller aux élections avec les même MENSONGES DES RWANDAIS TUTSIS qui engendreront les mêmes FRAUDES, qui à leurs tours engendreront l’USURPATION (nationalité et terres), et à son tour engendrera LES GENOCIDES ET CRIMES DE TOUT GENRE EN RDC qui engendreront du JOB pour la MONUSCO (observateur-complice des rwandais et leur Kanambe)
UNE TRANSITION CONGOLAISE NEUTRE DOIT REPRENDRE LES AFFAIRES DE L ETAT “CONGOLAIS CAR :
LE CONGO A BESOIN D’UN P.R.E.S.I.D.E.N.T… .I.N.T.E.R.I.M.A.I.R.E…
LE CONGO A BESOIN D’UN G.O.U.V.E.R.N.E.M.E.N.T….DE T.R.A.N.S.I.T.I.O.N….N.E.U.T.R.E
LE CONGO A BASOIN D’UNE A.R.M.E.E DE(S) C.O.N.G.O.L.A.I.S… PAS DES TUTSIS
LE CONGO A BESOIN D’UNE P.O.L.I.C.E….C.OM.M.U.N.A.L.E PAS DES GENOCIDAIRES
LE CONGOLAIS A BESOIN DE SON I.D.E.N.T.I.T.E…. PAS DES USURPATEURS
(3) EN PRIORITE LA RESTITUTION ET LA RESTAURATION DE L’IDENTITE DE CHAQUE CONGOLAIS DE TRIBUS CONGOLAISES ( un tribu tutsi ni hutu n’existe pas en RDC)