Sierra Leone : Mise en quarantaine du pays entier pour mieux traquer l’Ébola.

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par Erick Bukula

 

Les pays déjà affectés par la fièvre hémorragique d’Ébola sont entrain de perdre la bataille contre l’épidemie. Les mesures prises jusqu’à présent semblent n’avoir pas été assez effectives pour arrêter la propagation du fléau.

Pour ainsi, le gouvernement sierra léonais a pris la décision extrême de confiner la population entière du pays en une quarantaine de 3 jours.

Le porte-parole du gouvernement Abdulai Bayraytay a annoncé ce weekend que le gouvernement a demandé à ses 6 millions de citoyens de rester chez eux le 19, 20 et 21 septembre prochain, 3 jours pendant lesquels “le personnel de santé et celui des organisations non gouvernementales feront du porte-à-porte pour détecter des cas probables de maladie d’Ebola cachés par leurs parents dans les maisons”.

“Le confinement signifie que personne, encore moins un véhicule à l’exception de ceux qui sont essentiels pour le service, ne sera autorisé à circuler. La mesure s’appliquera à tout le monde” a précisé le porte-parole Bayraytay.

Plusieurs milliers de policiers et de militaires sont déjà déployés pour faire respecter la mise en quarantaine et 21.000 autres personnes seront recrutées pour la mettre en application.

Un confinement qui, selon le conseiller de la présidence au sein de la mission de lutte contre Ebola, est nécessaire pour traiter une fois pour toute la propagation d’Ebola.

Un avis que ne partagent pas l’opposition politique du pays et Médecins sans frontières. Ce dernier a déclaré que selon son expérience “la quarantaine n’est pas utile pour contrôler la propagation de la maladie d’Ebola parce qu’elle pousse les gens à se cacher et met en péril la confiance entre le peuple et les travailleurs de la santé”.

La Sierra Leone fait partie des trois pays de l’Afrique de l’Ouest sécoués par l’épidemie d’Ebola depuis le début de l’année en cours. Dans un bilan publié le 5 septembre, l’OMS a révélé que plus de 2000 personnes sur 3944 cas ont déjà peri dans ces trois pays.

Un article de The Voice Of Congo

1 COMMENT

  1. Kamerhe c’est une Ebola cacher du Rwanda
    Chers compatriotes,
    Le GRARC ,qui a pris la décision de ne plus laisser les congolais dans les ténèbres de l’ignorance, a décidé de vous présenter aujourd’hui un des rares spécimens de l’imposture dont les jongleries ont longtemps fait illusion, au point de séduire et de tromper même ceux d’entre nous qui ne sont pourtant pas dépourvus d’équilibre psychologique. Il s’agit de monsieur Vital Kamere ou Kamerhe Rwakanyasigize alias Lwa Kanyiginyi Nkingi

    VITAL KAMERHE Rwakanyasigize alias Lwa Kanyiginyi Nkingi,
    VITAL KAMERHE Rwakanyasigize alias Lwa Kanyiginyi Nkingi,

    Vital Kamerhere, en effet,est accusé par une grande majorité de Congolais, notamment ceux de Kikwit où il avait passé la majeure partie de sa jeunesse, comme étant originaire du Rwanda. De ce fait, comme le souligne l’ambassadeur américain à Kinshasa (voire Wikileaks) et plusieurs diplomates occidentaux, il est un artiste, menteur, jongleur et manipulateur. Les mêmes qualificatifs dénoncés par tous ceux qui connaissent bien tous les Tutsi. En réalité, il est donc prudent de faire attention quand nous parlons d’un Rwandais et ou d’un Tutsi car il n’y a pas de différence par leur façon de percevoir la vérité. C’est dire que toute leur existence socio-politico-économique est émaillée par les mensonges dépassant tout entendement du plus petit au plus grand en passant par les autorités publiques. C’est dans leur nature.

    Le mot « Kamere » est qui signifie en Kinyarwanda : nature, habitude, comportement alors qu’il n’existe pas dans la langue dont il se réclame : le « Shi ». Les ethnologues trouveront les matériaux permettant de rétablir la vérité dans un avenir proche pour le compte de l’histoire de la nation congolaise.

    I.- NAISSANCE ET ETUDES :

    Il est né un certain 4 mars 1959, à Cyangugu, au Rwanda, poste frontalier avec le Congo dans le Sud-Kivu. Sa grand-mère est Rwandaise et vit encore à Cyangugu et son cousin est le général de brigade rwandais Gratien KABILIGI. Fils de Constantin, arrêté le 18 juillet 1997 par le Tribunal Pénal International pour le Rwanda et transféré à Arusha, en Tanzanie. Leur grand-père commun est M. KANYIGINYA du clan royal Hutu des Banyiginya de la Préfecture de Cyangugu. Le général Gratien KABILIGI est né à Rusunyi en décembre 1951 et il a fait ses études secondaires au Collège St Paul à Bukavu ,sous les bons soins de son oncle paternel Constantin KAMERE. Avant le génocide de 1994 au Rwanda, le général Kabiligi était commandant des opérations à Byumba, au Rwanda, avant de devenir commandant des opérations au Sud-Kivu pendant l’aventure de l’AFDL.

    On retrouvera Vital Kamerhere dans les années 70 à Kikwit, dans le Bandundu avec son oncle, travaillant à l’Office des Routes pour les uns et comme Assistant à l’I.S.P./Kikwit, pour les autres. Et lui, il est parti étudier à Kikwit Sacré/Coeur plus précisément à INDOBO (Institut St Jean-Bosco, des Frères Joséphites) de 1971 à 1975. Lui-même dira , à l’Institut St François Xavier (en maths et Physique), Institut Sadisana (ex ISFX).

    Il quittera Kikwit pour Kananga, ,pour étudier à l’Institut Mulemba de 1976 à 1980, pour avoir son diplôme d’Etat, en 1980. Il mettra à son actif ce périple riche en découvertes pour apprendre à parler non seulement les quatre langues nationales du Congo (tshiluba, kikongo, swahili et le lingala) mais aussi le Kinyarwanda et le kirundi. Mais il ne saura se comparer à certains intellectuels congolais tels que le Professeur Mathieu Musey qui en parle et écrit couramment 11 langues et le Cardinal Monsengwo, 16 langues du monde et du Congo. Cette perfidie de polyglotte aurait facilité et en même temps justifié amplement le recrutement de Rwakanyasigize Kamere dans les services de renseignements rwandais afin d’infiltrer les institutions de notre pays.
    Il ira s’inscrire à l’Université Nationale du Zaïre (UNIKIN) à Kinshasa, de 1980 à 1987 pour obtenir une Licence en Economie agricole (C’est sa spécialité) et il sera retenu comme assistant de 1987 à 1995. En 1995, il sera chargé des cours à l’IPN, en gestion financière.

    Il est marié à la fille de l’honorable BOJI, Mme Mamick Boji, une Mushi du Sud-Kivu, il est père de huit enfants. C’est sa femme qui est originaire du village Ngweshe, Secteur Bulwi, territoire de Walungu, district et province du Sud-Kivu. Par stratégie, il a endossé l’étiquette de « mushi » à la place de son épouse.

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