Signature avorté de l’accord ou déclaration de paix à Kampala au Palais Présidentiel: Museveni en colère, après 45 minutes d’attente

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Ils étaient bien présents dans des pièces différentes du Palais Présidentiel. Au moment M, la délégation congolais n’était pas à l’endroit indiqué où attendaient déjà le Président Museveni, le délégué de Mary Robinson, le représentant spécial du Secrétaire général de l’ONU en RDC, chef de la Monusco, Martin Kobler et bien attendu les délégués du M23. Fidèle à la cause juste qu’elle défend, la délégation de Kinshasa n’a pas voulu avaler la couleuvre préparé par les ougandais. Furieux, le Président ougandais n’a pas su cachet sa colère contre la délégation congolaise. Abordé à leur tour, le M23 est resté de marbre sur la signature d’un accord avec Kinshasa, en dépit de la défaite militaire. La question que les observateurs se pose est de savoir pourquoi une certaine, opinion internationale tient à faire signer à la délégation congolaise, un document qu’elle n’accepte pas. Jugée des forces négatives, la communauté internationale ne devrait pas montrer la partialité jusqu’à soutenir des choses inacceptables dans leur pays respectifs. Aujourd’hui, même à Kinshasa, les diplomates son divisés sur cette question.

Liesse à Kibumba

Martin Kobler, qui a visité les localités frontalières qu’occupaient le M23, a palpé la misère au niveau de la population, mais aussi la joie de retrouver la liberté. Libre, la population de ces entités pensent déjà aux travaux agricoles, mais aussi à faire étudier leurs enfants. L’administration congolaise a repris du service et pour la première fois, l’armée et la police peuvent s’occupé respectivement de la défense du territoire et ou du maintient de l’ordre.

Volet politique, équation non encore résolue

Les uns et les autres sont tenus à mettre de l’eau dans le vin, pour absolument résoudre l’aspect politique en vue d’espérer à une paix durable ne ce cesse de soutenir le Représentant spécial de Ban Kimoon. Les diplomates sont en œuvre pour arrondir les angles, pour qu’afin une attente soit trouvée entre les deux parties en conflit. Entretemps, les diplomates occidentaux à Kinshasa devraient travailler dans toute impartialité pour aider à résoudre les conflits attisés entre autre par les multinationales de leurs pays.
LRP

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